Les Neuroatypiques : une force qui fait peur, une peur qui fait force...
Et si les neuroatypiques étaient des chevaux de course laissés au prè...?
Et si, derrière cette singularité parfois dérangeante, se cachait un trésor méconnu pour l’entreprise ?
Je ne vais pas vous parler d’inclusion, ni d’innovation sociale. Je ne vais pas non plus faire l’apologie de la neurodiversité. Non. Mon intention est plus simple : partager un témoignage, le mien, et ouvrir une réflexion sur la place des neuroatypiques dans le monde professionnel.
Mon parcours de neuroatypique : de la différence à la force
Je suis neuroatypique : une légère dyslexie que je compense, une pensée en arborescence accélérée, et un profil dit HPI. Pendant longtemps, j’ai vécu cette différence comme un fardeau. J’avais le sentiment d’être « trop », de déranger. Alors, je me mettais en retrait.
Petite, lorsqu’on me montrait un carré à quatre angles droits, je voyais un cube avec huit angles. Là où d’autres percevaient un seul problème et une seule solution, je voyais une multitude de possibles. C’était déconcertant pour mon entourage. Aujourd’hui, c’est une force que mes clients reconnaissent et valorisent.
Cette singularité, qui faisait peur et que je lisais dans les yeux de mes interlocuteurs, est devenue mon moteur. Elle s’est transformée en une opportunité incroyable : une peur qui fait force.
Et si, derrière cette singularité parfois dérangeante, se cachait un trésor méconnu pour l’entreprise ?
Je ne vais pas vous parler d’inclusion, ni d’innovation sociale. Je ne vais pas non plus faire l’apologie de la neurodiversité. Non. Mon intention est plus simple : partager un témoignage, le mien, et ouvrir une réflexion sur la place des neuroatypiques dans le monde professionnel.
Mon parcours de neuroatypique : de la différence à la force
Je suis neuroatypique : une légère dyslexie que je compense, une pensée en arborescence accélérée, et un profil dit HPI. Pendant longtemps, j’ai vécu cette différence comme un fardeau. J’avais le sentiment d’être « trop », de déranger. Alors, je me mettais en retrait.
Petite, lorsqu’on me montrait un carré à quatre angles droits, je voyais un cube avec huit angles. Là où d’autres percevaient un seul problème et une seule solution, je voyais une multitude de possibles. C’était déconcertant pour mon entourage. Aujourd’hui, c’est une force que mes clients reconnaissent et valorisent.
Cette singularité, qui faisait peur et que je lisais dans les yeux de mes interlocuteurs, est devenue mon moteur. Elle s’est transformée en une opportunité incroyable : une peur qui fait force.
